Diplômée d’une maîtrise en Ressources Humaines, et en projet de formation en ayurveda, ce cheminement n’a pourtant pas été linéaire.
Aujourd’hui expatriée à Montréal, cette enfant des bords de la Méditerranée se livre, avec bienveillance et franchise, sur l’anorexie à laquelle elle a survécu.
Plus qu’un témoignage, c’est une confession dans laquelle elle dévoile les aspects les plus obscurs de cette maladie, tels qu’elle les a retracés à l’époque.
Désireuse de rappeler qu’une maladie ne définit pas le malade, elle souhaite que ses écrits soient d’utilité publique en diffusant au monde le message que tout est possible.